C'est toujours le même plaisir. Toujours le même ravissement de ballader dans le VENTOUX. Le géant, la masse, le repère pour nous tous vivants à ses pieds. Il suffit de s'en éloigner pendant quelques temps pour que nos premiers regards, sur le chemin du retour, se tournent vers lui. Pas pour savoir s'il est toujours là, mais comme pour se rassurer et se dire: " C'est là que je vais, c'est de là d'où je viens... Je rentre à la maison."
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